A06 – TAAL, CULTUUR & BURGERSCHAP: HOE VERBIND JE ZE IN JE LESPRAKTIJK?

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Uitgeverij Talenland – Nederland
(NEDERLANDS)

De Franse taal is méér dan woordenschat en werkwoordvervoegingen. Het is een toegangspoort tot andere perspectieven, verhalen en culturen. In lijn met het nieuwe curriculum voor Frans en de eisen rondom burgerschapsvorming van de onderwijsinspectie, nodigen wij je van harte uit voor een praktische en inspirerende workshop: Taal, Cultuur & Burgerschap: hoe verbind je ze in je lespraktijk? Wat kun je verwachten? Een praktijkgerichte demonstratie van hoe je uit de methode À plus (of uit een andere taalmethode) taaltaken kunt destilleren die aansluiten bij burgerschapsthema’s en culturele bewustwording en die kunt uitwerken tot een actuele en rijke culturele ervaring. Vervolgens kiezen we samen thema’s uit het curriculum Frans (niveau A1 en A2) en onderzoeken we welke burgerschaps- en cultuurelementen daarin verborgen zitten – en hoe je die op een levendige manier in je lessen integreert. Er is ruimte voor uitwisseling van ideeën en lesvoorbeelden, met oog voor wat in de praktijk werkt. Samen bouwen we aan betekenisvol, actueel en wereldgericht onderwijs Frans.

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  • E15 – L’IMAGE ET L’IA EN CLASSE DE FLE : UN ATOUT PÉDAGOGIQUE INNOVANT

    Alicia Lemoine – Institut français Portugal. Lisbonne – Portugal (FRANÇAIS)

    Cet atelier interactif propose d’explorer l’usage de l’intelligence artificielle pour générer des images et enrichir les cours de FLE. Les participants créeront leurs propres visuels et expérimenteront des activités comme s’ils étaient apprenants, pour en comprendre les enjeux pédagogiques. L’objectif : fournir des idées concrètes pour dynamiser l’apprentissage, capter l’attention des élèves et moderniser les pratiques grâce à l’image et à l’IA.

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    Dès la Nouvelle-France, on observe chez les anciens Canadiens un rapport particulier à l’environnement physique et humain de la colonie : s’en distancier par le rire (parodies théâtrales, charivaris, déguisements condamnés par l’Église, etc.). Sous le régime anglais, après 1760, la presse et le théâtre prennent le relais de ces pratiques défiant la censure. Puis, les luttes parlementaires et les Rébellions des années 1830 exacerbent les manifestations de défis de l’autorité, notamment dans la presse satirique. Le Fantasque de Napoléon Aubin, la Lanterne canadienne d’Arthur Buies, les chroniques de Robertine Barry, mais aussi les romans satiriques du tournant du siècle. La guerre de 1914-1918 génère son lot de facéties chez les Poilus canadiens-français. Les revues burlesques introduisent le parler populaire sur les scènes, annonçant le succès du « joual » dans la dramaturgie et le roman québécois des années 1960-1970 (Michel Tremblay, Réjean Ducharme, Marie-Claire Blais, etc.). Le succès des monologuistes Yvan Deschamps et Marc Favreau sera relayé par de nouvelles générations d’humoristes sur les plateaux de TV, sur le Web et dans les festivals de l’humour (« Juste pour rire »), alors que l’École nationale de l’humour institutionnalise la formation dans le domaine, sous la maxime « On ne plaisante pas avec l’humour » (https://youtu.be/akLwmrfdcJM).